Des propos propos malveillants
Ce mardi 28 octobre, dix cyberharceleurs présumés de Brigitte Macron ont été jugées concernant l’affaire Jean-Michel Trogneux. 8 hommes et 2 femmes âgés de 41 à 65 ans, accusées d’avoir relayé des propos malveillants sur le « genre » et la « sexualité » de Madame Macron.
Des profils très variés : galeriste, élu, enseignant, informaticien ou encore médium. Des peines de prison de 3 à 12 mois avec sursis et des amendes allant jusqu’à 8000 euros ont été requises à l’encontre des prévenus.
Le témoignage de sa fille
Depuis quelques années l’épouse du président de la république est la cible rumeurs transphobe la présentant comme une femme transgenre.
Au tribunal, Tiphaine Auzière, fille de Madame Macron, a déploré une «dégradation des conditions de santé» de sa mère.
Brigitte Macron «est contrainte de faire attention aux tenues (qu’elle porte), aux postures car elle sait que son image peut être détournée» a ajouté Tiphaine Auzière.
12 mois de prison avec sursis, c’est la peine la plus lourde qui a été requise contre Aurélien Poirson-Atlan, un publicitaire de 41 ans connu sous le pseudonyme de « Zoé Sagan » sur les réseaux sociaux.
Une affaire internationale
Il serait à l’origine des rumeurs. Ce cyberharcèlement a été qualifié de « répétition d’agissements malveillants » par le parquet de Paris. L’affaire a pris une ampleur international jusqu’à traversé l’Atlantique.
Candace Owens, une influenceuse américaine en a fait un cheval de bataille. Elle a créé une série de vidéos intitulée «Becoming Brigitte» («Devenir Brigitte»).
Le couple Macron a par ailleurs engagé des poursuites contre elle aux Etats-Unis.




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